Que disent les statistiques sur les crimes commis contre les enfants palestiniens? (1)
Des milliers de martyrs, des centaines de prisonniers
Le Neuf du mois de Mehr, coïncidant avec le premier octobre 2000, Mohammad Aldoreh, un jeune palestinien de douze ans assassiné de manière abjecte par le régime sioniste, a rejoint le rang des martyrs.
L’image de son assassinat, alors qu’il se cachait derrière son père pour se protéger de l’attaque des militaires sionistes, a été à maintes reprises diffusée par les télévisions du monde entier, provoquant la honte du régime occupant et de leurs protecteurs.
Ce crime commis contre un jeune sans défense par les forces armées qui, en l’espace d’un court laps de temps, ont tiré plusieurs balles sous le regard de la population, a simplement prouvé la barbarie du régime occupant et violent qui s’impose par la force et la violence, le meurtre, la terreur et le vol, dont le fondement est la destruction, l’assassinat et la transgression.
Mais en même temps, le martyr d’Aldorreh incite les enfants de son âge à une lutte encore plus acharnée contre le régime sioniste et à la place d’Aldoreh, des centaines d’enfants comme lui se lancent dans le combat, sans protection mais mieux avertis, alors que cette réalité reste incomprise de l’occupant et de leurs alliés américains; aussi s’approchent-ils aveuglément du précipice éternel à chaque terreur, à chaque crime.
Les enfants palestiniens sont les vraies victimes des politiques et du terrorisme du régime sioniste.
Selon les statistiques et les rapports donnés par les organisations internationales et palestiniennes, le nombre de tués et de prisonniers depuis 2000 s’élève à 7515 tués et plus de cent mille palestiniens blessés dont mille enfants.
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