Georges Jordak, l’écrivain chrétien qui aimait l’Imam ‘Ali (AS) (2)
Traduit par Jean d’Agape
À l’âge de 14 ans, il écrivit une pièce en cinq actes nommée «Sahar» qui fut présentée dans plusieurs villages du sud du Liban. Un membre de sa famille nommé Mansour Jordak, qui était un grand mathématicien, voulut l’envoyer en Europe pour poursuivre des études de sciences et de mathématiques mais à cause de son attachement à sa région et ses beautés, et son intérêt pour la littérature et la poésie, Georges Jordak refusa et alla poursuivre des études de littérature arabe à Beyrouth dans un collège religieux.
Il écrivit son premier livre intitulé «Wagner et la femme» au sujet duquel le cheikh Abdoullãh Alaili a déclaré qu’il n’avait aucun égal dans la littérature contemporaine. Après ses études au collège religieux de Beyrouth, il commença à écrire de façon régulière pour des journaux libanais et arabes, et à enseigner la littérature arabe, la philosophie et surtout les œuvres littéraires de l’Imam ‘Ali (AS) dans plusieurs lycées de Beyrouth.
Pour enrichir ses cours, il fut obligé de se référer à de nouvelles œuvres sur cette personnalité littéraire, ses idées et son rôle social, et commença à lire des livres sur l’Imam ‘Ali (AS) se rendant compte que la majorité des livres faisaient référence à des questions secondaires et restreintes, en relation avec une époque et un lieu précis, importantes pour la plupart des gens d’un point de vue historique, mais insuffisantes pour les autres époques car elles se limitaient au droit de succession de l’Imam ‘Ali (AS) après le prophète (AS) que les auteurs défendaient plus ou moins sans aucune allusion aux idées de l’Imam ‘Ali (AS) sur la vie, l’être humain et les besoins de la société humaine.
Source: Khabaronline.ir
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