Je n’ai trouvé personne en dehors de l’Imam ‘Ali (AS) qui mérite que j’écrive un livre (2)
Traduit par Jean d’Agape
«La justice de l’Imam ‘Ali (AS) et le gout des Arabes pour l’entraide, la bonté, la fraternité, le courage, la générosité, l’héroïsme, les chevaux, la justice, la culture, la réflexion, la bonne foi, la politesse, la science, la religion et l’ascétisme, leur peur de Dieu et d’autres choses de ce genre sont des qualités typiquement arabes qui m’ont poussé à choisir l’Imam ‘Ali (AS) comme symbole national et arabe, et d’en être fier», a-t-il ajouté.
Georges Jordak est persuadé que personne n’existe dont la personnalité et la pensée ressemblent à celles d’Ali (AS). Il considère ‘Ali (AS) comme une personne exceptionnelle mais sans vouloir le diviniser car ‘Ali (AS) est un être humain qui a paru à certains, surnaturel, à cause de son pouvoir à éveiller les consciences, sa connaissance du monde, sa défense des droits, de l’égalité et de la justice, sa tolérance et son pardon.
Georges Jordak ajouta: «‘Ali (AS) est un être humain parfait qui a instauré la justice du Prophète (AS) dans son gouvernement. N’est-ce pas lui qui a dit que la pauvreté est un exil dans la patrie et la richesse une patrie dans l’exil, et que les gens se divisent en deux groupes, tes frères en religion ou tes semblables dans la création? C’est à cela qu’a fait allusion Khalil Gibran qui avait été influencé par l’Imam ‘Ali (AS) et avait déclaré que le Prophète (AS) avait comparé ‘Ali (AS) à Jésus (AS) fils de Marie (AS), cette comparaison n’étant pas uniquement physique car je suis certain que la lumière d’Ali (AS) n’est pas différente de la lumière du prophète (AS) et des autres envoyés divins».
«A mon avis, les paroles de Jésus et sa demande de pardon pour ceux qui l’avaient crucifié, ressemblent aux paroles d’Ali (AS) quand Ibn Moljam l’a frappé avec son épée, ‘Ali avait dit que s’il restait vivant, il s’occuperait de lui, et que s’il ne survivait pas, il fallait le frapper d’un seul coup d’épée.
Au sujet de son choix de l’Imam ‘Ali (AS) en relation avec la révolution française, Georges Jordak a déclaré que l’Occident après la révolution était revenu à l’âge barbare et que les gens comme des moutons, étaient assujettis aux dirigeants qui tuaient à tour de bras, et qu’il avait ressenti le besoin d’écrire à ce sujet.
Source: Khabaronline.ir
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