Résultat: alors que ce pays éprouve le plus grand mal à se remettre du désastre (près de 2000 morts et 15 millions d’habitants– sur 170 millions de Pakistanais – privés de toit), le paludisme y est anormalement peu virulent. Une bénédiction pour les populations locales, qui n’avaient jamais observé un tel phénomène.