La nouvelle de la liberté de soi
Abou Khaled Zabãli dit: «Moussã Ibn Ja’afar béni soit-il est arrivé près de nous; au moment où Mehdi Abbassi l’emmenait avec lui, après qu’il soit revenu, je lui ai dit au revoir et j’ai pleuré il a dit: pourquoi pleurez-vous?»
J’ai dit: «que je te sois sacrifié ces gens vous emmenaient et je ne sais pas quelle est la fin de cette affaire, l’Imam a dit: «cette fois-ci je ne connaitrais aucun dommage et je serais près de vous tel jour et restez dans l’attente de mon retour».
Le narrateur dit: «le jour promis je suis sorti pour l’attendre jusqu’à ce le soleil décline vers le jaune, et j’eu peur qu’il ait changé sa décision. Aussi me suis-je levé et revenu. A ce moment, j’ai vu apparaître une silhouette noire au loin et un crieur a crié dans mon dos.
Je suis revenu sur mes pas et j’ai vu l’Imam Moussã Ibn Ja’afar qui était sur le dos d’un mulet. Il a dit : « ô Abou Khaled sois patient, j’ai dit : oui ô l’enfant de l’envoyé de Dieu que je vénère, j’espère que Dieu t’a protégé de leur mal».
Il a dit: «ô Abou Khaled ! Sous peu, je serais une nouvelle fois pris par ceux qui ne me laissent aucune échappatoire». 1
Note:
1 – la fin des désirs, G2, P.225 et 226
Source: Tebyan.net
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